Dans la Constitution de 2005, il n'est fait nulle part mention de Dieu, le Burundi étant une République laïque.

Sur le papier, le pays demeure laïque. Mais Dieu fait son apparition dès les premières lignes de la Constitution. C’est en effet « au nom de Dieu Tout-Puissant » que le président de la République, son vice-président et des ministres prêteront serment avant d’entrer en fonction.
D’ailleurs, les conseils des ministres s’ouvrent désormais par une prière prononcée par le président-prédicateur Nkurunziza lui-même.